Le groupe du Français, Vincent Bolloré, est en difficulté dans des pays africains surtout au Burkina Faso. Une de ses filiales dans ce pays, Sagatrans, devrait régler un contentieux commercial avec la société Sopam. Cette dernière annonce avoir reçu mandat pour recouvrer la somme due dans cinq (5) pays africains où sont implantées les filiales du groupe.
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14,6 milliards de francs CFA. C’est le montant que doit payer la filiale Sagatrans du groupe Bolloré (Burkina Faso) à la société Sopam à titre de dédommagement. Et pour parvenir à ce recouvrement dans un meilleur délai, la société a déjà procédé à la saisie des comptes des filiales Transports & Logistics Burkina Faso, Burkina Logistics & Minings Services (BLMS) et la société de transit du Burkina (SNTB).
Ce dossier remonte à plus d’une décennie entre ces deux sociétés. Il aurait donc fallu une bataille judiciaire et juridique de longe date avant que l’homme d’affaires, Panguéba Mohamed Sogli, de Sopam SA ne gagne enfin le procès.
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L’opération judiciaire consiste à recouvrer cette somme dans cinq (5) pays que sont le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire et le Sénégal ; la somme de 14,6 milliards de francs CFA représentant le dédommagement lié aux avaries subies par le groupe électrique pendant son entreposage au port d’Abidjan ainsi qu’au retard accusé dans sa livraison à Ouagadougou.
