Coaching : Au-delà de l’indépendance coloniale

Nous sommes princes et princesses d’un royaume de plénitude et d’abondance, mais nous demeurons dans la souffrance et la prison de la souffrance tant que nous ne prenons pas conscience de notre appartenance royale

Le 1er Août de chaque année est la date de commémoration de l’indépendance du Bénin . C’est un jour de joie et de fête nationale. Tout le monde peut voir avec émerveillement à la télévision de beaux défilés militaires et civils. 

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C’est un évènement qui permet de se rappeler les luttes que nos aïeux ont dû mener pour que nous soyons aujourd’hui un peuple indépendant et libre. C’est un très bel événement et cela mérite effectivement d’être célébré à juste valeur. Cependant, il y a une autre forme d’indépendance dont la recherche permanente  devrait être l’objet de nos préoccupations. Il s’agit de l’indépendance de chaque individu vis-à-vis des chaînes du mal.

Dans tous les pays du monde, qu’il soit développé ou pauvre, nous voyons la majorité des hommes enchaînée par la maladie, la pauvreté, les conflits qui déchirent au quotidien leur être les rendant ainsi prisonniers. Ces personnes peuvent-ils gaiement, sans hypocrisie, célébrer une indépendance ? Quelqu’un qui a peine à se lever du lit pour cause de maladie, peut-il se dire indépendant, libre et heureux? Quelqu’un qui ne peut pas manger à sa faim et est sans abri,  est-il vraiment indépendant ? Bien sûr qu’ils sont indépendants de l’imposture coloniale en tant que citoyens de leur pays, mais ils sont encore plus asservis à des maîtres plus grands et plus intimidants que les colonisateurs humains. 

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Ils sont asservis au mal avec lequel ils luttent parfois sans espoir et aspirent à une réelle et entière liberté. Et bien que la majorité des hommes ne pense pas à une possible libération vis à vis de ces maux, la chose est pourtant réelle et réalisable. C’est d’ailleurs l’ultime état de l’être de l’homme : une entière liberté de toutes pressions qu’elles soient mentales ou physiques. L’homme est créé libre et est ainsi maintenu. Sa liberté ne devrait jamais être entravée par quoique ce soit ni qui que ce soit. L’homme n’est soumis et ne devrait être soumis qu’à Dieu, le principe divin de son être. Et ce principe est gouverné par la liberté, l’harmonie, la perfection, la sainteté , la santé, la paix, la joie, la vie, l’abondance. Ce qui revient à dire que de par son droit divin, l’homme est légitimement soumis à la loi du Bien. Il ne devrait allégeance à quoique ce soit en dehors de Dieu, le Bien. C’est notre ignorance de notre identité réelle qui nous laisse comme des êtres malheureux ballotés de tous côtés par toutes les forces qui nous maintiennent dans une oppression continue et sévère.

C’est comme un Prince dont le père en tant que roi qui possède tout bien et a tout pouvoir et toute volonté de maintenir son enfant toujours comblé, heureux, libre, en parfaite santé, entièrement satisfait. Mais ce prince à la naissance a été arraché de son royaume par des personnes malintentionnées qui l’ont maintenu prisonnier toute sa vie durant. Ce prince demeurera prisonnier tant qu’il demeure dans l’ignorance de son identité réelle. Mais le jour où il prendra conscience de qui il a toujours été, est et le sera toujours, il commencera à voir autrement les choses et à se comporter autrement. 

Ceci est la même chose avec tous les hommes de toutes nations. Nous sommes princes et princesses d’un royaume de plénitude et d’abondance, mais nous demeurons dans la souffrance et la prison de la souffrance tant que nous ne prenons pas conscience de notre appartenance royale et de notre liberté innée. 

Mais dès le moment où nous commençons à en prendre conscience, nous commençons à jouir des biens infinis de ce sublime royaume, nous commençons à jouir de la liberté, de l’amour, de la paix, de l’abondance qui ont toujours été nôtres. Et nous pouvons tous le faire, nous pouvons tous faire ce retour à la maison, au bercail divin. Nous avons le droit divin d’être entièrement indépendants de toutes servitudes quel qu’en soit la forme. Commençons à mettre en question tout état de souffrance ou de dépendance et élevons-nous à la liberté divine des fils et des filles de Dieu. Dieu nous en a rendu possibles.

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