La tension sociale ne cesse de monter en Algérie malgré les répressions policières qui s’ensuivent. Le gouvernement menace de durcir le ton, mais les manifestants restent déterminés.
[penci_related_posts dis_pview= »no » dis_pdate= »yes » title= »Sélection Sunvi Média » background= » » border= » » thumbright= »no » number= »4″ style= »grid » align= »none » withids= » » displayby= »cat » orderby= »rand »]
Des partenaires sociaux et des sapeurs-pompiers sont monté au créneau pour dénoncer la gestion du pouvoir en place. Une gestion qui ne serait pas à la hauteur des attentes des Algériens qui s’engouffrent de plus en plus dans une paupérisation. Et face à cette montée de la colère dans le pays, le ministre de l’intérieur estime qu’il s’agit d’un complot fomenté par des parties hostiles à l’Algérie ».
Evénement
[penci_blockquote style= »style-3″ align= »none » author= » » font_weight= »bold » font_style= »italic »]Nous organisons un webinaire à l’intention des journalistes, étudiants en journalisme ou en communication et des acteurs de développement local. Participez à ce webinaire en cliquant ici[/penci_blockquote]
Ce mouvement de grève des pompiers est diversement apprécié dans l’opinion publique. Au moment où des observateurs donnent raison aux pompiers et aux manifestations, d’autres personnalités militent pour l’unité d’action pour la paix en Algérie. Dans une déclaration officielle, le Président Abdelmadjid Tebboune a toutefois appelé le gouvernement à ouvrir, aussi vite que possible, un dialogue avec les partenaires sociaux afin de tenter d’éteindre leur colère.
A (re) lire : Tchad : De nouvelles manifestations prévues pour ce samedi
Une telle tension sociale alors que l’Algérie s’apprête pour se rendre aux urnes le 12 juin prochain. Une législative de tous les enjeux et qui devraient conforter ou non le pouvoir du Président en place.
