
Je sais que j’ai déjà une fois au moins écrit sur comment bien commencer et passer une belle journée, mais je n’en dirais jamais assez. Et je m’en voudrais particulièrement de garder sur moi cette belle expérience personnelle que j’ai récemment vécue.
Chers visiteurs, vous lisez cet article gratuitement. Soutenez l’équipe en faisant un don. Cliquez sur ce lien pour procéder au paiement. Choisissez votre montant et validez votre don sur votre téléphone.
Incluse dans une activité qui allait durer 20 jours, je peux dire avec grande joie que les 17 premiers jours étaient une merveille. Je passais des journées très relaxes bien que de multiples tâches y étaient effectuées. Je disposais suffisamment de temps et d’espace pour mes études spirituelles et de silence pour mes méditations tout en accomplissant de la meilleure manière chaque tâche qu’il me revenait d’effectuer.
J’adorais et chérissais chacune de mes journées sans jamais vouloir que tout ceci prenne fin. Le soir, j’étais accueillie à la maison par la joie de mes enfants qui venaient m’accueillir à la porte. C’était un délice. Je m’étais donnée pour tâche en ces jours de toujours faire attention au cours de la journée à toutes remarques de circonstances de gratitude afin d’en faire le point la nuit avant de me coucher. Et le bilan était toujours satisfaisant. Mais au 18e jour où le travail était un peu turbulent, je suis arrivée en retard d’une trentaine de minutes environ. Constatant mon retard à la maison, je ne faisais que bouder sur la voie. Toute la circulation m’est apparue bizarrement indisciplinée. Je boudais toutes mauvaises conduites et même les têtes que je disais ne me plaisaient pas. En un mot, je voyais tout dans le sens du mal.
A (re) lire : Coaching : Savoir tourner la chance de votre côté
Quand je suis arrivée au lieu du travail, je me suis glissée parmi mes collègues de sorte que nos chefs hiérarchiques ne se sont pas aperçus de l’heure exacte à laquelle je suis arrivée bien qu’ils savaient que je suis venue en retard. Au cours de la journée, je ne cessais pas de me reprocher plein de choses sur mon retard en m’évoquant les raisons qui m’ont conduite à ce retard. J’étais mal à l’aise d’avoir été obligée de me cacher aux chefs et d’être glissée clandestinement comme un voleur afin qu’on ne me remarque pas le retard. Je m’en voulais et j’en voulais à tout mon entourage que j’accusais sans raison de mon retard bien que jusque-là personne ne m’a reproché le fait d’être venue en retard. Et comme pour ajouter à mon humeur qui est déjà à son comble, on me confie un travail qui devrait se faire sur une foule bruyante. Il est évidemment clair que pour cette journée, j’ai disposé de très peu de temps pour mes études spirituelles que j’ai pu avoir de toutes les manières, mais j’étais d’humeur très peu bonne pour répondre aux diverses sollicitations de mes connaissances comme à l’accoutumée.
D’ailleurs, je n’avais même pas ouvert ma connexion internet de toute la journée parce que je ne voulais rien. J’étais simplement dans un état bizarre. Je voulais juste dormir et ne faire que ça. Je me disais qu’après une bonne heure de sommeil, je me trouverais mieux. Effectivement vers l’après midi, je me suis trouvée une heure ou deux de temps de repos que j’ai consacré à dormir. Je croyais avoir dormi profondément et suffisamment, mais au lieu d’aller mieux, je me suis réveillée avec de violents maux de tête qui m’ont accompagnée jusqu’à la maison le soir.
Le mal à entraîné le mal. Un démon mal chassé ou laissé pour compte invite ses autres amis démons plus ou moins grands que lui pour siéger, et c’est ce qui m’est arrivée ce jour-là. J’avais commencé simplement par bouder de mon retard le matin, ce qui a conduit à toute une journée embrouillée finissant par de terribles maux de tête. Sur mon chemin de retour, je me disais qu’une fois arrivée à la maison, je pourrais encore plus calmement dormir et aller mieux à mon réveil. Ce que je fis une fois à la maison. Mais cela ne résout pas la situation. Alors faisant le bilan de gratitude pour ma journée, j’ai trouvé que ce dernier était presque vide sauf pour quelques circonstances habituelles. J’ai compris en ce moment ce qui m’est arrivé de la journée et m’arrivait encore jusqu’à l’heure là. J’ai immédiatement commencé à retourner la situation.
Je me suis levée du lit, ai pris une bonne douche et étudié un peu avant de me formuler une phrase qui m’accompagnera jusque dans mon sommeil de cette nuit. Cette phrase est la suivante : je suis pure, en parfaite santé et pleine d’énergie. Je me la répétais jusqu’à ce que le sommeil me l’arrache. Quand je me suis réveillée la nuit pour un arrêt pipi, je me sentais déjà très bien. Je n’avais plus du tout mal à la tête. Le lendemain matin, le bilan était parfait. J’étais en très bon point, pleine d’énergie pour une merveilleuse journée. Et cette nouvelle journée m’a été l’une des meilleures. Que s’est il passé la veille ? J’étais en retard, cela est un fait. Certaines raisons très insignifiantes m’ont conduite à ce retard. Mais j’avais le choix d’accepter comme de refuser ce retard. Je pouvais simplement reconnaître que j’étais toujours au meilleur endroit au meilleur moment et nier toute possibilité de retard avec ses conséquences.
Mais au lieu de cela, je l’ai non seulement accepté comme une réalité que je vivais mais je m’attendais aussi aux conséquences bien que personne ne me l’a jamais reproché.
Je boudais les circonstances, les personnes et moi-même ; je boudais tout ce qui contribuait à ce retard, même mon sommeil reposant de la nuit que j’ai qualifié de trop. J’avais fait très exactement le mauvais choix. J’étais passée à côté du chemin droit menant à la joie pour me perdre dans le tourbillon des idées limitatives et maladives. Le résultat est le chaos total. Devant chaque situation qui nous arrive, qu’il s’agisse d’un retard comme dans mon cas ou d’un semblant d’échec ou une déception, nous avons le choix de l’accepter pour la laisser définir le cours de notre journée ou de notre existence.
A (re) lire : Coaching : Ne soyez pas telle une feuille morte ballottée par les vents
Il vous suffit de voir que cela ne nous est jamais arrivé, que nous sommes toujours à notre place idéale où tout est parfait au moment même où nous semblons avoir été victimes. Nous avons toujours le choix de laisser du retard au service ou à n’importe quelle tâche entraver le bon déroulement de notre journée. Faisons prochainement le bon choix pour ne rien accepter qui n’honore pas notre nature divine. Dieu nous en a donné le droit et le pouvoir.
Nous vous invitons à soutenir notre équipe en faisant un don. Veuillez cliquer sur ce lien à cet effet.
Rejoignez-nous ici :