
Assise sous un arbre, dans l’attente d’une cousine et par une journée légèrement venteuse, mon attention fut captée par un léger bruissement. Il s’agissait d’une grande feuille de manguier, desséchée, que le vent agitait avec force.
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La feuille était ainsi emportée à droite et à gauche, tournoyant au gré des rafales. Lorsque ma cousine arriva, elle l’écrasa par inadvertance, sans même s’en rendre compte. Cette scène m’a amenée à réfléchir sur l’état d’inconscience, de victimisation perpétuelle et de fatalisme dans lequel nombre d’individus semblent se complaire. Nous agissons souvent comme cette feuille morte, dépourvus de force et de résistance face à ce que nous nommons les « vicissitudes de la vie ».
Nous nous résignons à penser et à affirmer que notre état de maladie, de pauvreté, de malheur et de malchance est une volonté divine, comme si le Créateur prenait plaisir à nous voir souffrir. Parfois, nous cherchons une raison à ces épreuves, mais il arrive aussi que nous les attribuions à un simple désir de nous tourmenter. Or, en tant que parent, je ne douterais jamais de mon amour pour mes enfants. Quel parent trouverait satisfaction à faire souffrir sa progéniture jusqu’à la mort ? Bien au contraire, tout parent s’empresserait de soulager sa souffrance. Dès lors, comment imaginer qu’un Dieu si miséricordieux prendrait plaisir à nous infliger la souffrance plutôt que la paix, la maladie plutôt que la santé, la misère plutôt que l’abondance ? Serait-il donc incapable ou impuissant à nous soutenir, au point qu’une autre entité aurait pris le contrôle de sa création ? D’où proviendrait une telle puissance, puisque Dieu est l’auteur de toute chose ? Dieu est d’une pureté telle qu’il ne peut contempler le mal et ne saurait nous infliger des souffrances qu’il ne connaît pas lui-même.
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S’il nous a créés à son image et à sa ressemblance, nous possédons indubitablement toutes les qualités et capacités qui le caractérisent. Dieu est abondance, et nous sommes naturellement dotés de tous les biens en abondance. Dieu est Vie, et nous exprimons naturellement la Vie. Dieu est perfection, et nous le sommes également par essence. L’être humain n’est pas un être malheureux, qui ne compterait que sur des forces et des capacités limitées, sans défense, exposé à tous les vents de misère et, finalement, à la mort. Il est, au contraire, la représentation de l’Être suprême, infini, tout-puissant et abondant. Il est l’expression, voire l’incarnation, de la Vie, du Bien, de la perfection et de l’Amour. Il partage la nature divine, sa Substance et son Essence, et manifeste toutes ses qualités et capacités. Il est infiniment plus puissant et béni qu’il ne peut l’imaginer.
Nous avons toujours été cet être, mais nous en avons perdu conscience. Nous avons oublié notre identité véritable, notre perfection et notre pureté innées, dont nous ne sommes jamais séparés.
Nous exprimons cet être pur, parfait, béni, aimé, soutenu et prospère dans la mesure où nous prenons conscience de notre identité divine, de qui nous sommes et de notre relation avec la source infinie de tout bien. Tout bien nous appartient par nature. Nous pouvons nous en réjouir et commencer à en prendre possession dès à présent. Si vous êtes accablé par la maladie, prenez conscience que votre substance est la Santé même, et que vous êtes pur, heureux, harmonieux et sain.
Affirmez cette conviction, car elle est la Vérité. Réjouissez-vous et n’attendez pas votre guérison dans un futur incertain, car « Voici, la moisson est déjà prête. » Votre santé parfaite se manifestera à mesure que cette conscience grandira en vous. Agissez de même face à la pauvreté. Contemplez l’abondance qui vous est déjà acquise et rendez grâce.
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Vous détenez tout pouvoir par Dieu, dont vous êtes l’expression et l’hôte sur terre. Il est du bon plaisir de votre Père de vous donner le royaume (la santé, le bonheur, la joie, la paix et l’abondance). Prenez possession de votre héritage inné, car rien ne peut vous lier au mal.
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