
L’actualité politique béninoise est principalement dominée par la dernière sortie médiatique du député Orden Aladatin et la réplique de Jacques Ayadji à ce dernier. Et pour Clément Dona, l’ancien maire de la commune de Dangbo, le député Orden Aladatin semble prendre des aires qu’il ne devrait pas.
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Clément Dona Gnonlonfoun, ancien maire de la commune de Dangbo, dans le département de l’Ouémé, se dit être en accord avec la réplique du président de Moele-Bénin, Jacques Ayadji au sujet de la sortie médiatique du député Orden Aladatin ce weekend. Pour ce haut fonctionnaire des BTP et ancien président du conseil communal de Dangbo, le député s’est permis des écarts indécents de langage au point de multiplier tout le monde à zéro.
Evénement
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De sa position d’observateur indépendant, affirme l’ancien maire Clément Dona Gnonlonfoun, et fort de son expérience politique sous le régime Yayi au cours de son mandat à la tête de la commune de Dangbo, la réplique de Jacques Ayadji est pleinement à la hauteur de la bourde politique du député Aladatin.
[penci_blockquote style= »style-2″ align= »none » author= »Clément Dona Gnonlonfoun, ancien maire de Dangbo » font_weight= »bold » font_style= »italic »]Je rappelle à Olden Aladatin l’adage populaire qui dit que, ça n’arrive pas qu’aux autres, et que la chicotte qui a servi à frapper la vielle femme sera toujours bien conservée, afin de frapper la jeune femme au moment où elle s’y attendrait le moins.[/penci_blockquote]
Pour lui, le député se trouve aujourd’hui du bon côté politique et a oublié que tout finit toujours par finir. Nul n’est assez fort, poursuit-il, pour rester éternellement fort pour faire de son « pied de nez insensé aux autres dont on croit à tort détenir l’avenir ».
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Signalons que lors de sa sortie médiatique, Orden Aladatin, au sujet du quota d’éligibilité lors des législatives suivant le code électoral en vigueur dans le pays, a souhaité que des partis qui ne sont pas sûrs de recueillir les 10% de se regrouper à temps pour éviter un désastre. Une déclaration qui n’est pas du goût des présidents de certains partis politiques, dont Moele-Bénin, qui a répliqué par média interposé. Des échanges qui alimentent la toile étant donné qu’ils sont tous avec le pouvoir en place.