Le 23 novembre de chaque année est consacrée à la journée mondiale de la lutte contre les violences faites aux femmes. Dans le monde, chaque année, de millions de femmes sont victimes d’injures sexistes et des milliers de femmes sont victimes de viol ou de tentative de viol.
Le concept de violences contre les femmes englobe l’ensemble des comportements violents, individuels ou collectifs, dirigés contre les femmes. Ces violences incluent les mariages forcés, les grossesses et les avortements non désirés, les mutilations génitales, lapidations, défigurations à l’acide, et autres Crimes d’honneur.
Parmi ces violences, il y a l’esclavages, agressions sexuelles et violences conjugales, viols d’épuration ethnique, trafic de femmes, privations traditionnelles ou politiquement tolérées de libertés et droits humains fondamentaux dans la condition féminine.
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Outre les trafics criminels et les violences propres à certaines sociétés, l’alcool est une cause majeure de violence entre les femmes en particulier de violences conjugales. Ce sont surtout les associations caritatives et associations humanitaires qui se mobilisent aujourd’hui en faveur de la de la reconnaissance et de la protection des victimes de persécutions spécifiques aux femmes.
Les campagnes des institutions internationales et les organisations non gouvernementales (ONG) contre ces violences peinent à réduire ce phénomène. Dans le domaine de la lutte contre l’excision, ces campagnes se sont multipliées, et les résultats en disent long.
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Aujourd’hui, avec le développement des réseaux sociaux et des outils technologiques, les femmes sont également victimes de « cyber violences », harcèlement et injures via les réseaux sociaux. Aussi, note-t-on qu’il y a un contrôle incessant d’un partenaire violent via le téléphone portable, ou divulgation de photos ou vidéos à caractère intime contre leur gré par exemple.
