Trumpisme, le bientôt ex-Président américain aurait tant bien que mal réussi à instaurer un style de gestion et un courant de pensées. Mais heureusement pour certains et malheureusement pour d’autres, ces nombreuses pensées ne resteront pas.
Le 16 juin 2015, quand Donald Trump annonce sa candidature à la présidentielle américaine, personne ne croyait qu’une personnalité aussi fantasque et sans vrai réseau politique pourrait accéder à la white house face à une Hilary Clinton, la candidate idéalement classique. Une joie pour certains Américains et un déni pour d’autres, Donald Trump, à forces d’outrances et de provocations très calculées écrase ses concurrents.
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Malgré son genre, très rapidement, sa côte de popularité monte. Il devient l’un des hommes les plus influents au monde. Le Président des Etats-Unis d’Amérique. Une présidence aux couleurs nouvelles, croyait-on. C’était plutôt une présidence décomplexée sous l’ingérence extrême, l’abus du droit de véto et des décisions d’humeur.
Accords Iraniens, Affaire Sergueï Skripal, accords commerciaux avec la Chine et que sais-je encore, puis tout récemment, gestion de la crise sanitaire du Covid 19, la suite est connue de tous. S’il faut chercher une réponse dans l’émergence du trumpisme, il faut aller la chercher dans l’abandon des classes populaires.
Quand les médias n’épousent pas les idées trumpistes et lèvent les goulots d’étranglements qui s’avèrent embarrassants, il s’agit bien évidemment de « Fake News ». Quand l’opposition publique et gouvernementale exigent des comptes quant aux violences policières, ils sont bien évidemment « Gauchistes » ou « extrémistes » en mission pour « détruire l’Amérique ».
[penci_blockquote style= »style-2″ align= »none » author= » » font_weight= »bold » font_style= »italic »]Eh ben ! Ce règne prend fin. Pas le règne américain mais le « trumpisme ». Oui! Le « trumpisme » prend fin. Un nouveau visage se présente à la Maison Blanche dans quelques jours. Le candidat élu et confirmé dans plusieurs États d’Amérique comme le futur Président des USA, Joe Biden.[/penci_blockquote]
Des résultats que contestent encore Donald Trump dans ses tweets. Mais malheureusement, il devra laisser l’administration Biden prendre place. Très rapidement après les élections, Donald Trump subit une baisse drastique de sa côte de popularité. Des millions de fans se sont désabonnés de son compte Twitter. Par contre Joe Biden reçoit plus d’un million d’abonnés et ce en quelques jours seulement.
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Joe Biden doit cependant éloigné par tous les moyens la classe politique du trumpisme. Si elle arrivait aux commandes en 2021 sous une forme ou une autre, elle pourrait finir de fracturer totalement une société déjà au bord du gouffre.
