Dans sa dernière chronique de l’année 2023, Nathalie Yamb a souhaité que les dirigeants du Sahel continuent de gouverner jusqu’à l’apaisement total de la situation sociopolitique et sécuritaire des pays.
Pour la panafricaniste, il n’est pas question que les autorités de l’Alliance des États du Sahel (AES) organisent des élections avant dix (10) ans. Le Président malien, Assimi Goïta, celui du Burkina Faso, Ibrahim Traoré et leur homologue du Niger, Abdourahamane Tiani, doivent éviter de faire l’erreur en cédant aussi vite aux pressions de ceux qui prétendent défendre la démocratie.
A (re) lire : La chronique de Nathalie – Le cheval de Troie de l’Otan en Afrique
Voici l’intégralité de sa chronique.
