En Mauritanie, chaque année des milliers de jeunes filles et garçons abandonnent l’école pour diverses. Mais face à ce taux élevé de déscolarisation, des jeunes se sont engagés pour leur formation professionnelle.
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Afin de lutter contre la débauche et éviter des cas sociaux dans le rang de ces apprenants et en vue de changer de paradigme en ce temps de coronavirus, une centaine de jeune a entamé une session de formation professionnelle. Cette dernière vise à outiller les apprenants inscrits en pâtisserie, en couture et en menuiserie pour une compétitivité les mois à venir.
Au total, les apprenants auront 9 mois de formation professionnelle qu’assure intégralement l’ONG Mauritanienne ID (Initiative pour le développement). Pour les initiateurs, ce projet entend pallier le chômage et réduire considérablement le taux des déscolarisés qui sont oisifs à la maison et qui sont tentés d’agir contre les normes sociétales.
A (re) lire : Bénin : Les centres de formation et d’apprentissage, l’autre camp de torture (2/3)
Le but, selon ces jeunes initiateurs, est de voir plus de jeunes professionnellement formés pour mieux faire face aux exigences artisanales les années à venir
