Le centre de documentation et d’information juridique (Cdij) de la Cour d’appel de Cotonou, accueille depuis ce lundi 26 juillet, la 20ème session de formation continue du Centre international de formation en Afrique des avocats francophones (Cifaf). Cette formation dénommée « Promotion Brice Tohoungba » prendra fin ce vendredi.
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« Arbitrage et sûreté », « les notions de base du contentieux des élections », « La défense de la défense », « la déontologie de l’avocat aujourd’hui », « le contentieux de la saisie immobilière ». Tels sont, entre autres, les modules au programme de formation des avocats francophones à Cotonou, Bénin.
« Cette initiative constitue un grain d’espoir pour le renforcement de l’Etat de droit dans un contexte caractérisé par des crises sociopolitiques dans nombre de pays francophones, mettant de plus en plus entre parenthèses, les fondamentaux de la Déclaration de Bamako, pilier des transitions démocratiques en Afrique », a évoqué le Professeur Adolphe Kpatchavi, Secrétaire général de la Commission nationale permanente de la Francophonie (Cnpf), à l’ouverture de la formation ce lundi.
Pour le ministre béninois de la justice, Séverin Maxime Quenum, cette formation permettra d’offrir à la fine fleur des barreaux africains, un enseignement de qualité ? Ces derniers seront dispensés par des professionnels aguerris sur un large éventail de problématiques qui se posent à l’avocat dans sa pratique quotidienne.
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Dans ses mots d’ouverture, Jacques Migan, directeur du Cifaf, a remercié le Président de la République du Bénin et son gouvernement pour les efforts qui ont permis la tenue de ladite formation.
Le directeur du Centre international de formation en Afrique des avocats francophones (Cifaf), le Bâtonnier Jacques Migan, a remercié l’Oif et le gouvernement du président Talon de leur appui à la tenue de la formation.
