Gabon : « La violence faites aux femmes est une honte pour l’humanité », Ali Bongo Odimba

La communauté internationale célèbre ce 10 décembre la journée mondiale des droits de l’hommes après une campagne contre les violences faites aux femmes. C’est une date anniversaire de l’adoption, en 1948 de la déclaration universelle des droits de l’homme. Et à cette occasion, le Président gabonais, Ali Bongo Odimba qualifie la violence faite aux femmes comme une honte de l’humanité.

Pour le Président gabonais, cette Journée internationale des droits de l’Homme marque dans le monde la fin de 16 jours d’activisme pour mettre fin à la violence faite aux femmes. Au Gabon, souligne-t-il, les dirigeants ne ménagent aucun effort pour éradiquer un phénomène qui est « une honte pour notre Humanité ».

[penci_blockquote style= »style-2″ align= »none » author= »Ali Bongo Odimba » font_weight= »bold » font_style= »italic »]Rien, absolument rien, ne saurait justifier, ni même expliquer ces violences faites aux femmes. Dans cette lutte, le Gabon n’entend pas seulement être exemplaire. Il veut être irréprochable. Il le sera. J’en prends l’engagement[/penci_blockquote]

Pour cette année 2020, le thème retenu est : « reconstruire en mieux – Défendons les droits de l’homme ». Ce thème est lié à la pandémie de COVID-19. Il met l’accent sur la nécessité de reconstruire en mieux, afin que les droits de l’homme soient au cœur des efforts de relèvement.

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Le 10 décembre est l’occasion de réaffirmer l’importance des droits de l’homme dans la reconstruction du monde auquel la communauté inspire. Cette journée permet également d’insister sur la nécessité d’une solidarité mondiale et de rappeler l’interconnexion et l’humanité.

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